Me Vergès qu'on ne présente plus, acquis depuis longtemps à la cause des dictateurs de tous ordres, ainsi que M. Roland Dumas, dont je vous laisse faire ou refaire connaissance au travers de l'Affaire Elf, se targuent de rendre justice à ce pauvre Laurent Gbagbo, ignominieusement spolié de son siège de président par M. Ouattara.
Que chacun puisse être défendu ou que des enquêtes soient diligentées pour faire la lumière sur des situations douteuses ne me froissent pas plus que cela. Par contre, que l'on attise les braises ardentes d'une guerre civile, dans un pays où déjà 179 personnes sont mortes suite aux affrontements postélectoraux, uniquement pour faire parler de soi me donne tout simplement la nausée.
Ces deux individus n'ont aucune vergogne à tenir des propos tels que : " Plus nous avançons, (…) plus nous savons qu’il y a eu des fraudes au deuxième tour des élections" sans aucune justification, alors que ce sont ces mêmes dires qui poussent à la haine et font que des citoyens ivoiriens meurent chaque jour.
Ces deux pantins du barreau viennent faire leur publicité sur des cadavres et, à voir leurs mines engagées, font croire qu'ils s'intéressent aux problèmes du peuple africain. Mais de qui se fout-on ? L'unique objectif n'est autre que de sortir de leur anonymat actuel et de se faire signer un chèque par M. Gbagbo (sur les deniers du pays bien sûr…).
Au lieu de censurer en permanence des humoristes, des écrivains ou des journalistes, il serait peut-être intéressant d'arrêter de relayer les outrances des plus pourris d'entre nous.
Ces deux individus n'ont aucune vergogne à tenir des propos tels que : " Plus nous avançons, (…) plus nous savons qu’il y a eu des fraudes au deuxième tour des élections" sans aucune justification, alors que ce sont ces mêmes dires qui poussent à la haine et font que des citoyens ivoiriens meurent chaque jour.
Ces deux pantins du barreau viennent faire leur publicité sur des cadavres et, à voir leurs mines engagées, font croire qu'ils s'intéressent aux problèmes du peuple africain. Mais de qui se fout-on ? L'unique objectif n'est autre que de sortir de leur anonymat actuel et de se faire signer un chèque par M. Gbagbo (sur les deniers du pays bien sûr…).
Au lieu de censurer en permanence des humoristes, des écrivains ou des journalistes, il serait peut-être intéressant d'arrêter de relayer les outrances des plus pourris d'entre nous.
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